Messe de rentrée à St-Porchaire 7 octobre 2010 |
Luc 1, 26-38 Il y a des textes que l'on connaît par coeur. Si on veut les découvrir, il est important de commencer par la fin parce que le propre d'un récit est d'arriver à un but, sinon il n'est pas écrit. A la fin de ce texte, on trouve une comparaison, un signe, qui n'est pas une preuve, mais un signe. Un signe qui concerne la cousine Elisabeth. La vieille Elisabeth surnommée par ironie " la stérile ". Ironie honteuse. Or Elisabeth se situe dans la ligne des naissances inattendues. Abraham et Sarah pour Isaac, Manoah et sa femme pour Elgana et Anne pour Samuel et finalement Zacharie et Elisabeth pour Jean-Baptiste. |
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